Blessé tout au début de la guerre, lors d'une patrouille de reconnaissance, l'artère de l'épaule sectionnée, mon père ne dut sa vie qu'à son cheval qui le ramena affalé sur son encolure ,et à un jeune chirurgien qui l'opéra hardiment quand un début de gangrène l'avait déjà condamné.
On le voit ici à l'hôpital de Grenoble: une petite flèche le désigne sur la photo
l'infirmière de papa Au dos de la carte
encore dans nos tiroirs
On le voit ici à l'hôpital de Grenoble: une petite flèche le désigne sur la photo
l'infirmière de papa Au dos de la carte
encore dans nos tiroirs
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